samedi 24 novembre 2007

Salon du livre de Montréal

Avec toute cette neige et l’excitation qui va avec, je n’ai pas trouvé le temps de publier quelques articles. Il y a celui sur l’Oratoire - mais ça s’en vient tantôt – et celui sur le Salon du Livre de Montréal, où nous sommes allés dimanche dernier.


En route donc pour le SLM, Place Bonaventure au centre ville de Montréal. On a trouvé le bâtiment assez facilement, ainsi que le stationnement… niveau –7.
Là, un gars vous place et on laisse les vestes et manteaux dans le van, car comme d’habitude, le bâtiment va être surchauffé.
Petite file de 300 personnes pour les tickets qui est avalée en 10 minutes (il y des personnes qui font la « circulation »).

Enfin nous accédons au Salon, où nous croisons sur notre gauche la charmante et toujours jeune DORA qui explorait ce jour des allées bien remplies… et sur notre droite, un autre explorateur à ses heures, Camille BOUCHARD ! oui, le Camille de mes commentaires !


Camille, nous ne l’avions pas vu depuis juillet 2006, alors nous avons décidé d’aller l’ennuyer et jaser un peu (je suis quand même son 2ème meilleur ami de France ! Je vous laisse trouver qui est le premier).
Je vais pas vous faire son portrait, il le fait mieux que moi sur son site http://camillebouchard.com/.

Sinon, le salon… beaucoup, beaucoup de monde pour un dimanche matin. Et en début d’après midi, Hugo a dû renoncer à faire dédicacer un livre par Bryan Perro, car la file était trop longue. Heureusement, nous avions rendez-vous avec Diane et Dominic pour une promenade au grand air… avec 30 minutes de retard… temps pour sortir du bâtiment !

La place Bonaventure

Avec la construction du métro et la préparation de l’exposition universelle de 1967 qui allaient bon train de même qu’avec une explosion dans le secteur immobilier au centre-ville, Montréal s’apprêtait à entrer dans une ère de transformation urbaine qui allait passer à l’histoire. Tout était en place pour assurer une brillante réussite à la Place Bonaventure!


Le concept de la Place Bonaventure prenait des proportions gigantesques au fur et à mesure que les plans évoluaient vers leur état final. En octobre 1965, la conception et les plans furent enfin terminés et la construction prit fin en 1967. Sous sa forme définitive, la surface du complexe atteignait la dimension stupéfiante de 3,1 millions de pieds carrés, surpassant ainsi l’Empire State Building et devenant le plus grand immeuble au monde.


En 1973, dans le Centre de commerce en gros, on retrouvait de grands noms de la mode, des salles d’exposition de vêtements provenant des quatre coins du pays, des fabricants et des représentants de l’industrie du meuble et du jouet.
Malheureusement, personne n’aurait pu prédire la période d’agitation qui a secoué le Québec en 1976. La ville souffrait de problèmes économiques et la Place Bonaventure n’a pas été épargnée.

Avant 1998...


En 1998, la Place Bonaventure a fait l’objet d’une transformation majeure afin de redorer le blason de l’édifice et ainsi redonner au complexe une image à la hauteur de son importance au cœur du quartier international. Conséquemment, plus de 60 millions de dollars ont été consacrés à la rénovation des espaces à bureaux ainsi qu’à la réfection des aires publiques et des halls d’exposition.

... Après

9 commentaires:

La famille Benkemmoun Jean-Yves, Sylvie et Élisa a dit…

Eh bin, Rémy... je m'en méfierai de ce Camille car c'est bien la première fois que nous voyons Céline oser "montrer le bout de son nez" sur ce blog !!!!!!!
Et vlan... la fouteuse de t-----es est de retour !!!!
Ok, j'étais un peu prise ces derniers temps avec toute cette neige... mais attention, je refais surface !!!

Contente de revoir toute l'équipe et... faire la connaissance de Camille bien sûr !!!

celirego a dit…

Allo !
Hey tu oublies la chanson du limaçon ou on voit toute la troupe sur le petit film !
(cf : Danse avec les loups)

Camille Bouchard a dit…

Et je passe pour quoi, là, moi, un auteur jeunesse pourtant honorable?
Enfin, bon, dans les grandes lignes.

La famille Benkemmoun Jean-Yves, Sylvie et Élisa a dit…

Hé... Avez-vous installé un lit de camp au salon du livre ?

C'est quand le prochain article ?

Vos lecteurs attendent !!!!

Je ne veux pas jouer les "fafailles" mais Camille n'a encore rien écrit, lui, sur cette page !!!!!

celirego a dit…

Certains campent chez Scolart, d'autres au salon du livre... chacun sa culture !!!

La famille Benkemmoun Jean-Yves, Sylvie et Élisa a dit…

Ah Celirego... excellente ta réplique !

Lors de notre prochaine rencontre : partage des cultures ! Je te montrerai mes "découvertes pédago." !!!

La famille Benkemmoun Jean-Yves, Sylvie et Élisa a dit…

Monsieur Camille,

Si je peux me permettre, d'après ce que j'ai compris en écoutant Céline nous parler de vous, il manquerait un point d'exclamation après le point d'interrogation.

Mais votre modestie (perçue au travers de ce commentaire) est agréable à lire et me donne envie de me plonger dans quelques-uns de vos livres de jeunesse pour "éventuellement" (!!!!) y déceler quelques richesses et partager avec mes classes vos écrits.

Ceci dit, je vous imaginais plutôt vieux monsieur avec grande barbe !
Comme quoi, écrire pour la jeunesse permet de rester jeune !!!!

Salutations franco-québécoises

Camille Bouchard a dit…

Il paraît même que j'ai un charme fou.

Enfin, d'après ma vieille maman.

Et la modestie, ça, on n'en parle pas. Je suis l'être le plus modeste qui soit. Sans compter toutes mes autres qualités.

Aussi, vous ne regretterez pas de faire le saut dans mes écrits. Je suis un merveilleux écrivain. Bourré de talent. Et vous ai-je
mentionné ma modestie?

La famille Benkemmoun Jean-Yves, Sylvie et Élisa a dit…

Et voilà...
Celirego nous laissera dans le doute avec cette page. En effet, sans vidéo mais juste quelques photos, comment peut-on savoir si une "maman" peut avoir raison ? car c'est bien connu, seule une maman peut être autant en admiration !

Hey Celirego... "camper au salon du livre et ne pas tourner une p'tite vidéo... c'est pas de la job !" Bon, on vous pardonne parce que c'est vous.

Finalement, il ne me reste plus qu'à me plonger dans les écrits et lire entre les lignes...
Et zut... où sont mes lunettes ?

Radio-Canada | Montréal