Aujourd'hui, c'est l'Halloween... pour l'occasion Monsieur soleil a décidé de réchauffer l'atmosphère. Voici les températures prévues pour la journée.
mercredi 31 octobre 2007
lundi 29 octobre 2007
Parc Oméga
Le Parc Oméga est un immense sentier où l'on peut admirer des animaux en liberté, soit depuis la voiture (en suivant un parcours de 10 Kms), soit en marchant... au milieu des chevreuils ou en suivant des parcours protégés... c'est mieux pour admirer les loups !
Les plus voraces sont les Wapitis... ils aiment les carottes et n'hésitent pas à venir les prendre directement dans la voiture si la vitre est un peu trop baissée. Hugo de son côté avait décidé de ne donner qu'aux plus petits... c'est plus cute !
Le petit "Bambi"
Un magnifique barrage de castors
L'écureuil... qui semblait assez agressif avec son blé d'inde... donc on a préféré rester dans la voiture.
Les bisons (oui, c'est tout de même impressionnant de circuler au milieu de ces petites bêtes).
Les loups, arctiques et les loups gris
L'orignal
Bon, il y avait aussi des renards, des ours, des oies, des bouquetins, des sangliers... Je vais pas tout montrer.
Hugo a apprécié et il veut y retourner... nous irons donc une autre fois ! Mais pas l'été car il doit y avoir beaucoup, beaucoup de monde.
En repartant le soir nous avons croisé, cette fois-ci en pleine nature, en bordure de route des chevreuils. Heureusement qu'ils n'ont pas traversé devant la voiture.
Pour terminer, un petit film publicitaire du parc Oméga. C'est l'été mais cela donne une bonne idée du parc.
Parcours du Parc Omega, Montebello
mercredi 24 octobre 2007
B comme Bagel
C'est comme les crêpes, on les prépare tantôt avec du sucré, tantôt avec du salé (viande fumée, jambon-fromage...).
Pas la peine d'en acheter 25, car cela ne se conserve pas. La variété "classique" est celle au sésame et ils sortent tout droit du four... cuits au feu de bois. On peut donc les déguster chauds.
Fondée en 1957, le St-Viateur Bagel Shop est situé dans un quartier multiethnique de Montréal. Ayant été pendant plus de vingt ans la seule fabrique de bagels en ville, de là est venue la renommée des bagels montréalais. Aujourd'hui, cette petite devanture de fabrique de bagels fait partie intégrante de la vie folklorique et contemporaine de Montréal.
Utilisant les mêmes techniques de cuisson à l'ancienne rapportées d'Europe de l'Est par son fondateur Meyer Lewkowick, les bagels sont encore roulés à la main et cuits dans un four à bois. En 1962, alors âgé de 14 ans, Joe Morena, propriétaire actuel, commença à y travailler.La fabrique est ouverte 7 jours par semaine, 24 heures par jour. Elle attire des clients des quatre coins du monde, y compris des touristes et des célébrités.
La légende du Bagel :
On dit qu'en 1683, un boulanger juif de Vienne, Autriche, cherchait comment remercier le roi de Pologne pour avoir protégé ses compatriotes de l'invasion des Turcs. Il créa un petit pain en forme d'étrier (" beugel " en autrichien) pour rappeler agréablement au roi son hobby favori : l'équitation.
Adoptés par les Polonais, les bagels devinrent le symbole du cadeau officiel offert aux nouvelles mamans lors de la naissance d'un enfant. On les mentionne même dans les registres civils de la communauté de cette époque. Les bagels furent aussi utilisés comme de nutritifs anneaux de dentition que les nourrissons pouvaient facilement mâcher et manipuler.
Arrivés en Russie, les bagels prirent l'appellation de " bulbiki " (ou bubliki ?). Ils se vendaient dans des kiosques au marché ou dans les rues de la ville. En raison de leur forme circulaire, ils étaient sensés apportés le bonheur et on alla jusqu'à leur attribuer des pouvoirs magiques. Il semble même qu'il y eut des chansons sur les bagels ! "
(Source : The Bagels' Bagel Book de Marilyn et Tom Bagel.)
mardi 23 octobre 2007
Miko
Des tas de cadeaux, un gateau énorme (et très bon à en croire les 4 ou 5 morceaux dévorés par Hugo).
Nous avons été reçus comme si nous étions de la famille.
Merci Diane et Dominic.
lundi 22 octobre 2007
C'est la Sainte Céline !
Si l’on ignore la date de la mort de sainte Céline, on peut situer sa rencontre avec sainte Geneviève entre 465 et 480. Elle fut ensevelie près de Meaux. Un prieuré bénédictin élevé sur son tombeau dura jusqu'à la Révolution où ses reliques, apportées à la cathédrale de Meaux, furent mélangées avec celles d'autres saints et enfouies dans le cimetière.
Ses reliques sont encore dans la cathédrale de Meaux et son culte est resté localisé dans le diocèse de Meaux. Il est possible qu'elle ait été vénérée ailleurs (à Troyes), mais on l'a confondue avec la mère de saint Remi, vénérée le même jour, bien que l'une soit vierge et l'autre veuve.
Comme sainte Sylvie, mère du pape saint Grégoire le Grand, et bien d'autres saintes mères, sainte Céline est surtout connue à cause de son fils, le grand saint Remi (c'est moi ! c'est moi !), évêque de Reims, qui baptisa le roi Clovis. D'après le Pseudo-Fortunat, Céline, de noble famille, avait épousé dans sa jeunesse Emilius, comte de Laon. Un ermite, Montanus qui habitait au milieu des bois de La Fère, prédit à Céline, après un triple avertissement reçu en songe, qu'elle enfanterait un garçon d'un rare mérite : Le Seigneur a daigné regarder la terre du haut du ciel, afin que toutes les nations du monde publient les merveilles de sa puissance et que les rois tiennent à honneur de le servir : Céline sera mère d’un fils qu’on nommera Remi ; je l’emploierai pour la délivrance de mon peuple. Et, dix mois plus tard, Remi vint au monde à Laon.
Au IX° siècle, l’archevêque Hincmar de Reims a étoffé ces maigres données : Céline avait eu de son mari Emilius deux fils, Principius, qui fut un saint évêque de Soissons, et son frère, qui eut un fils, Lupus, lequel succéda à son oncle Principius. A l'annonce du reclus Montanus, Céline s'étonna car elle et Emilius étaient déjà âgés. Montanus, qui était aveugle, insista : Quand tu sèvreras l'enfant, tu me frottera les yeux de ton lait, et je recevrai la lumière. Remi, une fois sevré, mit lui-même, guidé par Céline, un peu de lait maternel sur les paupières du reclus et lui rendit ainsi la vue. Hincmar note que Remi avait été libéré de tout péché par le Saint-esprit. Il avait été conçu dans les iniquités comme tout homme, mais, contrairement à ce qui se passe pour la condition humaine, sa mère l'enfanta non dans les délits de la prévarication, mais dans la grâce de la rémission. Ainsi Remi rappelait Jean-Baptiste (Luc I 15) et Isaac (Genèse XVII 16). Il était né au pays de Laon. On l'appela Remigius, parce qu'il aurait à régir, à diriger son Eglise lancée sur des flots tempéreux, ou Remedius, car il serait aux siens un remède contre la juste colère de Dieu ou contre la férocité païenne. Après des études brèves, mais excellentes, Remi voulut imiter la retraite de son héraut Montanus. Il se sépara ainsi de Céline - si elle vivait encore. D'après une interpolation du testament de saint Remi, Céline aurait été enterrée à Labrinacum, Lavergny, commune de Parfondru, près de Laon (Aisne). La translation de son corps à Laon aurait eu lieu un 5 avril, d'après Molanus ou Vermeulen, éditeur du martyrologe d'Usuard (dans l'éd. de Jean-Baptiste du Sollier, Anvers, 1714, p. 194). On a attribué à Huchald (+ vers 960), moine de Saint-Amand, près de Valenciennes, une Vie de notre sainte. Mais elle est encore à trouver. A Reims, on commémore sainte Céline le 22 octobre.
dimanche 21 octobre 2007
Il fait trop beau...
Changement d'emploi du temps... bye bye les Cantons de l'Est et bonjour Montréal. Après un réveil un peu tardif, je n'avais pas le courage de prendre la voiture pour visiter les cantons de l'Est.
Donc, vers 11h00, direction Montréal pour profiter d'une température estivale... oui, 25° C vers 14h00. De quoi ressortir les tee-shirt ! et on s'est pas privés.
Petite halte pour découvrir l'Oratoire St Joseph - dont je parlerai une autre fois - puis direction le Mont Royal pour apprécier l'évolution de la coloration des feuilles.
C'est encore tôt, il y a des places de stationnement... mais la police veille. Pas la peine de discuter...ticket !
(c) photo Hugo
Beaucoup de monde dans le parc pour promener et faire bronzette sur les pelouses
Un écureuil blanc...
Après cette promenade, il fallait faire le plein de nourriture pour éviter de tomber d'inanition. En route pour le quartier du "Plateau" (je crois) au resto "chez Claudette" - pour faire plaisir à ma maman - c'est pas un 3 étoiles, la bouffe est correcte et le prix modique (30$ à trois - taxes et service inclus). Faut pas y aller exprès non plus.
Chemin faisant, sans savoir ni pourquoi, ni comment... Tempête de Neige !
Mais non, c'est pour rire, c'est du cinéma.
Ouf, après ces émotions, nous avions bien mérité un petit encas. Halte obligatoire à la plus ancienne fabrique de Bagels de Montréal, rue Saint Viateur.
Puis retour en fin d'près midi par le quartier paisible d'Outremont où les multiples petits parcs aux couleurs d'automne étaient eux aussi bondés, de même que les terrasses des bistros.
jeudi 18 octobre 2007
Notre quartier...
Je voulais vous en faire profiter donc petit aperçu des rues, des maisons et pour l'occasion, des décorations pour l'halloween.
Promenade vers l'école...
Rue Principale...
La mini ferme où l'on peut faire de l'autocueillette de fruits rouges l'été
L'église...
Le métro... enfin, le supermarché.
Le bord de l'eau